Généralement, il existe deux types d’entrée dans le jeu de rôles. Il y a ceux qui ont été initiés par un ami et ceux qui ont été tentés du fait de pratiquer d’autres activités ludiques comme le jeu de cartes ou le jeu de figurines. Quelque part, j’ai un peu cumuler. Le jeu de cartes Magic est entré dans ma vie par le collège, doucement, du fait d’une part de son coût énorme pour un collégien, puis d’une autre, par le rejet social que ce jeu entrainait dans mon bahut. Ensuite, étant tombé sur la magnifique couverture d’un white dwarf consacré aux elfes sylvains, je me suis mis à Warhammer. Un mois après de longs débats entre parents et enfant, je me suis acheté mes premiers petits soldats en plombs aux oreilles pointues. De fil en anguille, j’ai découvert et apprécié l’univers merveilleux et gothique qui y était lié. Par la suite, j’ai voulu tenter l’expérience roliste au lycée avec des potes. Le moins qu’on puisse dire, c’est que démarrer le jeu de rôles sans avoir été initié n’est guère simple ! Après une dizaine de parties où déjà les problèmes d’agenda étaient récurrents, nous en sommes finalement rester là. Ce n’est que tard (je me souviens même plu quand) qu’un pote ou plutôt une vague connaissance de ma boutique de jeu, m’a proposé une partie d’initiation. J’ai accepté étonné et l’ai accompagné pour créer un personnage magicien de haut niveau qui en une boule de feu lancée, a finis le scénario… Bizarre le meneur pour avoir monter une telle partie, un scénario sur le pouce et des demi-dieux pour le réaliser… Heureusement il s’est rattrapé en me proposant (soit disant) une vraie partie après coup. Sortie des donjons médiévaux, cette fois c’était anges contre démons, et de nos jours. J’accrochais bien au thème. Le pote me demande si je me sens capable de jouer un agent infiltré, un ange parmi des démons. Gros chalenge pour débuter qu’il pense néanmoins à ma portée. La flatterie a du me faire avalé la couleuvre me dis-je après coup. Ah l’innocence des jeunes années ! Partie agréable qui débouche sur une fin qui m’a été inattendue : tous les joueurs étaient des traitres… En fait le meneur n’avait toujours pas de scénarios mais juste un concept : faire jouer une table de traître qui s’ignorent. Aujourd’hui c’est une des parties dont je me souviens le plus et le bonhomme est devenu un bon ami malgré tout.
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Nom de la manifestation | Lieu | Date(s) |
|---|---|---|
| Monde du Jeu | Paris - 75 | 10/09/2010-12/09/2010 |
| Joutes du Téméraire | Nancy - 54 | 06/11/2010-07/11/2010 |
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| HyperHéros Voilà un concept fort qui m'a beaucoup séduit par son accroche. Il m'a fait un peu penser à Nobilis mais en version constumée. D'ailleurs cette ressemblance est pour moins le hic. Comme pour Nobilis, je trouve que ce jeu présente finalement pour les meneurs la même problèmatique que celle rencontrés par les auteurs des comics Thor ou le Sufeur d'Argent. Les héros sont tellement puissants qu'il est difficile de trouver une partie opposée valable. De plus, la difficulté augmente en cours de partie suivant les propositions des joueurs dont un meneur doit savoir répercuter sur son monde toutes les actions délirantes. A mon avis, un jeu réservé aux meneurs en recherche de défis, expérimentés et n'ayant pas peur de voir tout leur monde s'écroulé. Quelque part, on pourrait presque regretter que ce jeu ne soit pas prévu pour se passer de meneur. (d'après lecture et préparation de parties) |
