livre de 128 pages à couverture souple.
Cet ouvrage fait suite au First Broadcast et reprend les Suppressed Transmission de Avril 1999 à Mars 2000.
Après un avant propos de John M. Ford d'une page et une introduction de deux pages, l'ouvrage reprend à peu près le même découpage que son prédécesseur, ainsi que ses principes, particulièrement de toujours proposer des pistes d'exploitation en jeu de rôles.
Historical Weirdness : Alternate History (24 pages) propose donc d'exploiter des morceaux d'Histoire Alternative, proposant parfois plusieurs variantes par thème. Les sept articles proposent donc divers thèmes, comme des Hommes en Noir (Black Ops) à diverses périodes historiques, des ères glaciaires différentes des officielles, etc.
High Weirdness : Enigmatic Explanations (22 pages) fournit des explications bisociatives ou non forcément rationnelles à 6 événements ou objets, tels le Titanic, la Lune ou le Manuscrit de Voynich.
High Weirdos : Men, Myths and Monsters (29 pages) étudie en 8 articles quelques célébrités : Gilles de Rais, Robin des Bois, H.P. Lovecraft, Frankenstein, Jack l'éventreur, H.H. Holmes, les Benandati et Paul Bunyan.
Highly Weirdistan : Peculiar Places (24 pages) reproduit 7 articles, chacun consacré à un lieu mystérieux, de Irem à l'Internet en passant par les "planètes inconnues de notre système solaire" ou par Glozel.
Highly Significant Weirdness : Clashing Symbol (20 pages) étudie les significations cachées de 6 événements ou symboles comme la Walpurgisnacht, le premier avril, la géométrie sacrée ou les crânes de cristal.
Un glossaire de deux pages et un index ferment le livre.
Cette fiche a été rédigée entre le 8 mai 2000 et le 8 mai 2009.
Pas grand-chose à ajouter par rapport à ma critique sur le premier opus.
C'est du même tonneau, des conspirations à n'en plus finir, des idées de scénarios à chaque paragraphe. L'article sur Lovecraft est particulièrement costaud. Celui sur Gilles de Rais est remarquable, dans le sens où d'abord, il est assez exact historiquement (du moins, si l'on en croit la biographie de Jacques Heers) ; ensuite, les noms français sont correctement orthographiés. Chauvinisme, quand tu nous tiens.
La seule critique (oui, bon, sauf les illustrations, mais on s'en fout) concerne l'article sur l'analyse de Shakespeare, qui fait un peu doublon avec celle du premier volume. C'est tout !
Encore une fois, MJ débrouillards et/ou "contemporains-conspirationnistes", ou tout simplement curieux, mangez-en, c'est délicieux. Fnord.
Critique écrite en septembre 2009.
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