A government is a body of people, usually notably ungoverned
.
, Chuck McGrew, Tim Gerstmar, Richard Van Ingram, Douglas Shuler
Livret de 208 pages
La seconde édition des règles suit le plan de la première.
Les valeurs secondaires de santé physique et mentale sont maintenant appelées Body (Corps) et Psyché. La dizaine d'archétypes proposés se voient allouées des valeurs chiffrées pour leurs attributs. Le système de simulation est un peu plus détaillé pour ce qui concerne certaines applications (véhicules). La liste de créatures proposées, quoique encore fort sommaire, est un peu plus originale que dans la première édition. Les scénarios proposés sont en revanche les mêmes que dans la première édition.
Cette fiche a été rédigée entre le 8 mai 2000 et le 8 mai 2009.
Erick N. Bouchard (Baron Samedi)
J'aurais aimé donner une meilleure cote à DLB, mais elle serait difficilement justifiable. Le jeu se veut "générique" pour de l'horreur contemporaine, mais ne propose pas réellement d'éléments novateurs qui le distinguent de ses pairs. Assez proche de Chill conceptuellement (en éliminant la "SAUVE"), il présente une poignée de grands groupes occultes assez génériques (les hommes en noir, les méchants surnaturels, les surnaturels intègres, les neutres, etc.).
Malheureusement, rien qui sorte réellement des sentiers battus. DLB est donc à classer au niveau des jeux génériques plutôt que spécifiques à un contexte, type GURPS. Une analyse poussée des mécanismes aurait peut-être donné une note plus élevée mais les lacunes au plan du "background" limitent l'intérêt de ce jeu à moyen terme.
Bon point pour le jeu cependant, une ironie savoureuse par points, notamment l'idée que la secte maléfique de la Fraternité a inventé le politiquement correct pour prendre le contrôle des universités américaines...
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