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When you shoot, shoot. Don't talk !

Transylvania

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Références

  • Gamme : Crimes
  • Sous-gamme : Contes de Crimes
  • Version : première édition
  • Type d'ouvrage : Scénario / Campagne
  • Editeur : Ecuries d'Augias (Les)
  • Langue : français
  • Date de publication : juin 2010
  • EAN/ISBN : 978-2-9534195-5-9
  • Support : Papier
  • Disponibilité : Paru

Contributeurs

Contenu de l'ouvrage

Matériel

Livret format A5 agrafé de 32 pages et 7 pages A4 pour les aides de jeux.

Description

Le troisième scénario de la collection Contes de Crimes aborde le monde du cirque et du spectacle.

Le scénario s’ouvre sur la première Parisienne d’une troupe de cirque de renommée internationale, nommée Transylvania. Durant cette représentation, des spectateurs - les personnages - sont invités à participer au point d'orgue du spectacle : un numéro de prestidigitation très impressionnant. Le lendemain de cette éprouvante prestation, une macabre découverte va amener la police à soupçonner d’escroquerie les personnages, et ceux-ci n’auront guère d’autre choix que de s’intéresser de plus près à cette étrange troupe pour éclaircir l’affaire et comprendre pourquoi les artistes de la troupe semblent victimes de harcèlement policier.

Après une page de crédits, l’Avant Propos de 2 pages présente comme à l’accoutumée le scénario : il aborde tout d’abord le thème, puis l’on retrouve l’habituelle présentation de l’histoire (Fabula), suivie d’une présentation des inspirations de l’auteur et de quelques conseils de maîtrise.

Le scénario respecte la structure théâtrale classique en trois actes. Chaque acte est divisé en scènes, elles-mêmes respectant la structure commune à l’ensemble des scénarios officiels de Crimes.

Le premier acte (5 pages), intitulé En piste, campe en deux scènes le décor et l’affaire. Le deuxième acte, intitulé Un voile se lève, couvre en 8 pages, et trois scènes, le corps de l’enquête. Le troisième acte (9 pages), intitulé La Grande Parade, amène en trois scènes au dénouement de la tragédie. L’action est centrée autour de la seconde représentation de Transylvania et des choix cornéliens que les personnages devront inévitablement faire.

Le livret se cloture par 5 pages d’annexes présentant les principaux personnages non-joueurs.

Les 7 pages d’aides de jeu sont constituées de :

  • la feuille de personnage de chacun des quatre personnages prêts-à-jouer
  • deux rapports d’autopsie
  • un procès-verbal
  • une lettre manuscrite

La première impression de cet ouvrage comprend 110 exemplaires, auxquels s'ajoutent 26 exemplaires d'une édition collector : elle est signée et numérotée de 1 à 20 et de I à VI pour les six exemplaires collaborateurs. Il faut encore ajouter 20 exemplaires parfaitement similaires aux 110 premiers, mais avec une couverture différente.

Cette fiche a été rédigée le 31 mai 2010.  Dernière mise à jour le 12 juin 2010.

Critiques

Lulu garou  

(testé en convention )

Un excellent scénario qui mèle incompréhension et paranoïa ... assez retors pour briser toutes les croyances des PJ et assez puissant pour les laisser dans le doute jusqu'à bien plus tard après la fin du scénario. Une très bonne surprise où l'auteur de PriaX nous emmène au plus profond de son esprit torturé.

Attention cependant pour les MJ débutants, une information mal diffusée ou au mauvais moment peut briser l'intrigue, toute l'ambiance et ainsi, en quelques secondes, faire perdre tout son intérêt à la partie.

Cependant, une fois immergé dans la partie, l'intrigue peut faire plier les plus expérimentés des joueurs.

Un supplément indispenable donc, pour ce jeu déjà culte.

Critique écrite en juin 2010.

Aldaron  

En contre-pied de la première critique, je ne suis pas aussi enthousiaste. Je viens de le faire jouer. L’incompréhension est bien au rendez-vous et peut frustrer les joueurs. L’intrigue a un peu de mal à rester cohérente. Par exemple, le cadavre (de femme quand on l’a joué) a des papiers d’identité sur elle malgré des habits simples. J’ai choisi, comme il est conseillé, une note de teinturier. Cette dernière a envoyé les personnages sur une enquête bien éloignée de la trame principale. Je n’ai pas l’habitude d’obliger les joueurs à suivre des rails et suis retombé sur mes pieds mais cela reste une faiblesse du moment-clé du scénario. Le spectacle tient une place essentielle à la trame et n’est quasi pas décrit. Il est possible de se baser sur les descriptions des artistes mais ce n’est pas le plus direct.

Dans les points positifs, il est tout d’abord important de dire que les joueurs ont apprécié (un confirmé et deux nouvelles joueuses). Le contexte, même s’il n’est qu’esquissé, promet de riches interactions. Les composantes psychologiques (e.a. des pré-tirés, qui sont intéressants à jouer) et malsaines sont bien présentes comme toujours dans Crime. L’absence de certitude à la conclusion reste un point fort du scénario. Celui-ci est correct mais ce n'est pas le meilleur disponible. Ceci dit, vu qu’il a été édité à 130 exemplaires, il ne va pas être joué trop de fois... Ne faudrait-il pas prévoir des rééditions (en pdf ?) avec la version 2 qui approche fin 2015 ?

Sinon, le format des Contes de Crimes est original et fait pour une mise en place rapide (feuilles de perso et d’indices sur feuilles volantes) à condition d’accepter de ruiner ces feuilles si on n’a pas le temps de les photocopier.

Critique écrite en juillet 2015.

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Mots des auteurs

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Critiques

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