Boîte au format A5 contenant :
Endless Darkness, pour Space Horror Stories, propose deux nouveaux livrets pour créer de nouveaux Films et du matériel additionnel à destination des Protagonistes.
Le Livret Réalisateur (64 pages), après les crédits et le sommaire (1 page pour chaque), complète la boîte de base avec de nouveaux éléments :
Réalisation (6 pages) présente des conseils sur la gestion des figurants secondaires et sur la fin du Film. Puis, Contamination potentielle (2 pages) offre une nouvelle règle sur la gestion d’une contamination, avec à l’appui les cartes Contaminations potentielles fournies dans ce supplément (voir plus bas).
Menaces (48 pages) propose 12 nouvelles Menaces qui sont décrites selon le schéma suivant :
Le livret se referme sur la liste des souscripteurs (2 pages) et une illustration en double-page.
Le Livret Sites (24 pages) s’ouvre sur les crédits et remerciements, puis le sommaire (2 pages en tout). Suivent 8 différents sites, avec pour chacun leur description générale, leurs particularités (matériel, technologie, transport…) et la légende d’un plan détaillé en 2ᵉ page. Ces sites sont :
Une illustration étalée sur 4 pages, identique à celle de l’écran du jeu, conclut le livret.
Les Dépliants, destinés aux joueurs (8 pages), sont identiques à ceux que l’on peut obtenir avec la boite de base. Pour mémoire, ils reprennent plusieurs tables et informations à destination des joueurs : diagramme de création d'un Protagoniste (2 pages), 2 pages pour les différents rôles, 1 page pour les expertises, 1 page pour les équipements de base, 1 page pour la description des packs, et 1 table pour la table des blessures.
Le Paquet de cartes vient en complément comprenant :
Les trois Fiches de Contexte, proposent recto puis verso :
Les Fiches plastifiées sont des fiches de protagonistes et sont prévues pour être effaçables vu qu’un personnage-joueur n'est utilisé que pour un film (scénario). Le Feutre noir permet ainsi de les remplir puis de les effacer.
Cette fiche a été rédigée le 6 décembre 2024. Dernière mise à jour le 3 avril 2025.
Des règles toujours aussi fluides et accessibles
Dans la suite de Space Horror Stories, Endless Darkness conserve un système léger et intuitif. En quelques minutes, les joueurs comprennent tout, créent leurs personnages et plongent dans l’angoisse cosmique. L’apprentissage se fait naturellement, sans ralentir la tension dramatique.
Une nouvelle règle : la contamination discrète
Cette mécanique est la grande réussite du supplément. La contamination, insidieuse et invisible, s’infiltre peu à peu dans l’équipage. Les joueurs doutent, s’observent, se méfient. L’horreur ne vient plus seulement de l’extérieur, mais de ce qui ronge l’intérieur — une idée brillante, simple à jouer et terriblement efficace.
Un matériel riche et modulaire
Tout est pensé pour offrir une expérience fluide et immersive. Le meneur peut improviser sans stress, les joueurs se laissent porter, et la partie devient un récit collectif haletant.
Une expérience courte, tendue et mémorable
En trois à quatre heures, Endless Darkness condense toute la saveur du survival horror spatial : montée en tension, basculement dans la folie, et inévitable sentiment de perte.
Critique écrite en octobre 2025.
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